Vous avez peur? Vous êtes des cons!

Je décris la situation:

Mercredi 5 janvier 2011 dans la ligne A du Metro de Lyon, vers 13 heures de l’après midi.

La dame a autour de 60 ans. Ni mal habillée ni super bien. En tout cas elle n’est pas une clocharde. Elle a plus l’air d’une dame qui a lutté, qui a tout vécu et qui en a marre. Un peu fâchée contre le monde.

Elle gueule devant une fille de 16-17 ans qui tape imperturbable sur son iPhone, accrochée a ses écouteurs. Á la fin un monsieur intervient pour essayer de calmer la «petite dame».

J’ai eu le réflexe d’enregistrer son speech, parce que j’ai pensé qu’elle méritait d’être écoutée. Pas d’image pour préserver son intimité. Juste la photo du fauteuil où elle était assise.

Le résultat c’est ce OWNI (Objet Web Non Identifié).


PS: ça a été dur de retravailler le son capté avec mon portable. C’est tout ce que j’ai pu faire. Et puis n’hésitez pas si vous avez des suggestions pour compléter son speech.

Le Jour d’Après à Lyon – The day After Tomorrow

Et celui d’après… et on verra pour demain.

D’après Gerard Collomb Maire de Lyon, c’est comme ça que sa se passe. Il a aussi expliqué que le manque de moyens ‘anti-neige’ est un choix: «ici il neige comme ça que tous les 20 ans: Lyon n’est pas Montréal». (Plus chez LyonMag)

ES: Acaba de caer la mayor nevada de los últimos nosécuantos años en Lyon. La verdad que ha sido alucinante. Hay conductores que han pasado la noche en sus vehículos. Otros, directamente los han abandonado y han vuelto andando a casa.

Pequeño chiste visual con la magistral -en su género, el de la catástrofe apocalítpica- El Día de Mañana. Ponemos los monumentos lyoneses y cambiamos el ¿dónde estarás? por ¿dónde estabas?. El alcalde de Lyon Gerard Collomb ha dicho que no hay suficientes medios para estas nevadas excepcionales porque «Lyon no es Montreal».

Weird scenes in rue Saint Jean de Lyon

ES: Un delirio surrealista mientras digerimos los Leaks de WikiLeaks. Dos cruasanes y una sinfonía a cuatro manos. Las maquinitas musicales son una de las atracciones de la muy turística rue Saint Jean de Lyon.

(Si el Departamento de Estado de EEUU ha perdido 251,287 cables, nos podemos permitir perder un poco los papeles, ¿no?)

FR: Un délire surréaliste en attendant de digérer les Leaks de WikiLeaks. Symphonie a quatre mains pour deux cruasanes. Les petites machines musicales sont une des attractions de la très touristique rue Saint Jean de Lyon.

Rhône foutage-de-gueule Express

C’est avec beaucoup d’impatience que les lyonnais attendaient la mise en service du nouveau tram jusqu´à l’aéroport. Aprés toutes ces années de Satobus à 15 euros, une heure pour arriver à destination et comme seule alternative le taxi (entre 60 et 80 euros), une nouvelle solution voit le jour.

Un service a la hauteur d’une grande ville, dite métropole, qui veut se côtoyer avec les grandes capitales européennes: ‘adiós’ Satobus, ‘hola’ Rhône Express. Un train, plus écologique que la navette, qui nous dépose à l´aéroport à une vitesse record… Bienvenus au XXIe siècle, les gars.

Premiére surprise, son prix: 23 euros aller-retour. La compagnie Satobus a déjà amorti sa flotte. Maintenant on va devoir payer celle du Rhône Express. Le Satobus n’existe plus, les choix se réduissent. Vive le libre marché des monopoles!

Deuxiéme surprise: le seul arrêt au centre ville du tram supersonic , un éclair rouge,  est à l´autre bout de la gare de la Part-Dieu, de difficile accés.  Sinon on a le choix entre Vaulx en Velin-la Soie, tellement practique, ou Meyzieu, ce grand axe de communication rhodanien.

Et puis, aparemment ils ont déjà eu quelques soucis techniques.

Bref, c´est assez hallucinant pour nous, les Cruasans qui venons de Madrid, où l’on paye 2 EUROS pour arriver au centre-ville… Only Lyon, on dit? (Et pourtant, on l’adore).

N’importe quoi

Amablemente robado a: http://frigo.lapin.org/index.php

Sigo con mi vena léxica. ‘N’importe quoi’ es sin lugar a dudas una de nuestras expresiones francesas favoritas, a falta de ranking. Además es completamente intraducible, lo que la convierte en uno de los pilares del ‘franchuñol’, lengua oficial e inevitable de todo Cruasán que se precie.

No lo digo yo, lo dice también nuestro fiel amigo Wordreference: No se ha encontrado ninguna traducción para ‘n’importe quoi’, dice el pobre. Sí tiene una versión en inglés: ‘whatever’. Sí pero no es lo mismo. Por eso, en la misma página hay una animada serie de foros sobre la cuestión.

La paradoja es que es muy fácil de entender literalmente. (No importa qué) pero no hay forma de traducirlo. Alguno se mete en un buen berenjenal intentando explicarlo ¿Cualquier cosa? ¿lo que sea? Bueno, más o menos, pero también dependiendo del contexto puede querer decir hacer tonterías o chorradas (faire n’importe quoi) o decir mentiras y/o chorradas (dire n’mporte quoi). Aunque creo que una de las palabras que mejor se adapta es la vetusta (y maravillosa) ‘despropósito’.

En fin. Termino ya, que este ‘post’ empieza a ser un poco n’importe qoui.

Para saber cómo suena: la demo de Acapela, aunque sin duda, lo mejor de Acapela es hacer decir cosas en español a las voces francesas y viceversa.

N’importe quoi

C’est, sans doute, une de nos expressions françaises préférées… D’autant plus qu’elle est strictement intraduisible à l’espagnol. Et c’est pourquoi, elle est devenue un de piliers du ‘franchuñol’, langue officielle et inévitable d’un Cruasán. Même en parlant l’espagnol, nous disons «n’importe quoi» toutes les deux secondes! Définitivement c’est n’importe quoi notre truc.

Du n'importe quoi gentiment volé chez: http://frigo.lapin.org/index.php