Aux cons. De tout bord.
Cordialement,
#JeSuisCharlie
Le meilleur jeune croissant
No Comment.
ES: Bueno, comentamos un poquito. La cooperativa láctea Isigny Sainte Mère organiza todos los años el concurso del mejor croissant de mantequilla entre los alumnos de las escuelas de bollería. No podía faltar en nuestro blog. La ganadora ha sido Claire Boyer. El palmarés por fin está actualizado en la página web de la cooperativa.
FR: Bon, on rajoute un petit commentaire quand même. La Coopérative Isigny Ste-Mère organise tous les ans le concours du meilleur croissant au beurre. Un rendez-vous incontournable pour ce blog. Le concours a été remporté par l’apprentie au CFA de Nantes Claire Boyer. Le webmaster a enfin actualisé le site de la Coopérative avec le Palmarés.
Pour en finir avec cette histoire du croissant espagnol. (On ne pouvait pas se passer de faire un petit commentaire nous, les croissants ambulants)
C’est vrai. Les cruasanes espagnols sont mauvais par rapport aux croissants français.
La polémique vient d’un blog gastronomique espagnol du journal El País. Le billet de Mikel Iturriaga a fait un tabac en Espagne ouvrant une énorme cyber-discussion.
Maintentant Rue 89 a repris le sujet. Le billet d’Elodie Cuzin est très bien. Génial, quand elle interviewe deux touristes français qui décrivent leurs expériences avec les secs, insipides et sucrés! croissants espagnols. Mais…
ES: Un delirio surrealista mientras digerimos los Leaks de WikiLeaks. Dos cruasanes y una sinfonía a cuatro manos. Las maquinitas musicales son una de las atracciones de la muy turística rue Saint Jean de Lyon.
(Si el Departamento de Estado de EEUU ha perdido 251,287 cables, nos podemos permitir perder un poco los papeles, ¿no?)
FR: Un délire surréaliste en attendant de digérer les Leaks de WikiLeaks. Symphonie a quatre mains pour deux cruasanes. Les petites machines musicales sont une des attractions de la très touristique rue Saint Jean de Lyon.
ES: Finalmente, estamos de vacaciones… Es cierto que acabamos de empezar con el blog, pero el Cruasán no siempre puede elegir cuándo se va de vacaciones.
La vuelta al cole será a tope.
FR: On est enfin en vacances… On vient de commencer avec le blog, c’est vrai, mais un Cruasan ne peux pas toujours choisir sa date de vacances.
La rentrée ça será en pleine forme
Cruasanes, ya estoy de vuelta. Mi ramadán ha sufrido varios cambios estos últimos días. Nota positiva: por fín he dado con la fórmula mágica para resistir tantas horas sin comer. Ahora vivo por la noche. Vale, ya sé que no hace falta ser un crack para llegar a tal conclusión, pero no es tan fácil. Una de las cosas negativas del ramadán es el cansancio. Duermes durante el día, duermes por la noche, duermes a todas horas. Viviendo por la noche ganas horas para comer y las horas de sol se hacen más cortas al pasarlas durmiendo…
Una serie de circunstancias me llevaron, el jueves pasado, a hacer un reportaje sobre el puerto de pesca de Lorient. Es el segundo puerto más importante de Francia detrás de Boulogne-sur-mer. Lo dirige una mujer, Angèle Bergelin. Una campeona de 1m80 que ha conseguido hacerse un sitio en un mundo dominado por los hombres. Lleva un año en Lorient y cada noche, a partir de la 1 y media de la mañana, llega a su lugar de trabajo para dirigir la lonja, la venta y subasta del pescado, evitar los piques de los pescadores, los bloqueos de precio cuando le llega el turno al atún, tesoro cotizado. Angèle se pasea con su walkie. Huele a pescado pero admite que le da igual, le apasiona su trabajo. Los pescadores la miran de reojo, con un cigarrillo en la comisura del labio, mientras ella corre de un lado a otro estrechando la mano a todo el mundo.
El jueves por la noche llegué a casa a las 8 de la mañana apestando a pescado pero feliz por haber descubierto una profesión tan chula y haber conocido a tanta gente interesante. Al día siguiente me fuí de fiesta. También llegué a casa a las 8 de la mañana, feliz por haber bailado en un bar en el que no había gaitas. En los dos casos me desperté a las 4 de la tarde al día siguiente, así, cumplir con el ayuno del Ramadán, es pan comido…
Par Icmandic. Repris du blog de l’ESJ à Lorient
Quand on est originaire d’une région celte qui n’est pas la Bretagne mais la Galice, le regard sur le FIL change et les comparaisons semblent tout de même inévitables.
Pour tous les Espagnols qui auraient eu l’opportunité d’aller au Mundo Celta de Ortigueira, ils seraient surpris par le concept du Festival Interceltique de Lorient. La ville bretonne n’accueille pas que des groupes celtiques traditionnels ou de la « worldwide ». Bien au contraire, la musique représente un aspect des identités celtes. Ainsi, conférences, ateliers de danses traditionnelles, jeux et sports bretons, théâtre breton, concours de cornemuses galiciennes, asturiennes, écossaises… Sa diversité n’a pas de limites ni de frontières. Pourtant quelque chose attire notre attention: le public festivalier. 80% des personnes qui se baladent au port de plaisance dépassent les 40 ans. C’est aussi une question de localisation: les jeunes fréquentent plutôt la rue du port. Mais ce n’est pas tout. Alain Stivell à 21€, The Cranberries à 40€ et ainsi de suite…
Nous avons eu le plaisir de rencontrer le directeur et programmateur du festival d’Ortigueira, Alberto Balboa. La petite ville galicienne accueille cet évènement musical et totalement gratuit depuis plus de trente ans. Le public est jeune dans sa majorité. L’esprit réside dans l’amour qu’il porte à la musique celte traditionnelle. Pas de place pour la « worlwide ». « Nous savons que les jeunes n’aimeraient pas venir dans un concert pop au festival même si les origines du groupe sont celtes, nous raconte-t-il. A Lorient, le public l’accepte et aime cette diversité. » C’est pourquoi, lors de notre rencontre à l’Espace Marine près du concert Rokia Traoré, il se disait étonné au point que lui-même «n’aurait jamais pensé à mettre des chaises dans un concert! » C’est sûrement une question de culture festivalière différente…
Cruasanes, fuera prejuicios. En Lille, situado a apenas 60km de Bruselas (siempre en linea recta), la cerveza y el buen humor fluyen entre sus calles mojadas por la lluvia. Una imagen que da que pensar, sobre todo si recordamos la ya famosa pelicula de Dany Boon, Bienvenidos al Norte.
Pero no todo son acentos. De hecho, desde hace un mes, no me he cruzado con ningun ch’ti-hablante. Decepcion? Ninguna. Resulta mucho mas sorprendente el caracter acogedor de sus gentes. Puede que por eso se haya hecho tan popular el dicho que repiten todos «Lillois»: «en el norte se llora dos veces, la primera al llegar y la segunda al partir».